la dépendance alcoolique c'est : qu'on ne peut plus se passer de consommer sous peine de souffrances physiques ou psychiques ou les deux. Que la journée s'organise exclusivement à se procurer de l'alcool à en consommer et à récupérer ses effets. une bonne définition de l'alcoolisme pourrait être la suivante : « tout usage de boissons alcooliques qui causent des dommages à l'individu, à la société ou aux deux. » 6 états qui prouvent que vous êtes dépendant à l’alcool Pour quoi boit-on ? Au début, on boit pour une de ces raisons : « Ça fait du bien après le travail, ça fait oublier les soucis, on se sent mieux plus fort ou moins timide, ça détend etc. » En France comme ailleurs, l’alcool est partout. Il est associé à la fête et la convivialité. C’est presque une tradition. Pour comprendre la dépendance, il est utile de se pencher sur son propre parcours de vie avec l’alcool. On boit pour faire...
la dépendance alcoolique c'est :
- qu'on ne peut plus se passer de consommer sous peine de souffrances physiques ou psychiques ou les deux.
- Que la journée s'organise exclusivement à se procurer de l'alcool à en consommer et à récupérer ses effets.
une bonne définition de l'alcoolisme pourrait être la suivante :
« tout usage de boissons alcooliques qui causent des dommages à l'individu, à la société ou aux deux. »
6 états qui prouvent que vous êtes dépendant à l’alcool
Pour quoi boit-on ?
Au début, on boit pour une de ces raisons :
« Ça fait du bien après le travail, ça fait oublier les
soucis, on se sent mieux plus fort ou moins timide, ça détend etc. »
En France comme ailleurs, l’alcool est partout. Il est
associé à la fête et la convivialité. C’est presque une tradition.
Pour comprendre la dépendance, il est utile de se pencher
sur son propre parcours de vie avec l’alcool. On boit pour faire la fête, pour
communiquer plus facilement avec le monde qui l’entoure, et pour ne pas se
sentir exclut ou différent. C’est ce que l’on appelle différence sociale.
Encore à ce stade, il n’y a pas de dommage pour la personne, son entourage ou la société. Enfin tant que la consommation reste modérée et occasionnelle. Pourtant, quelque chose vient de se passer dans le cerveau.
Le cerveau enregistrera à jamais cet effet psychotrope bienfaisant. C’est gravé à vie.
Il se rappellera qu’avec la boisson il pourra se mettre en veille et se reposer. On peut comparer ça à une voiture en panne de moteur qui se fait tracter par une autre voiture. La voiture roule, tourne mais n’a pas de moteur.
Encore à ce stade, il n’y a pas de dommage pour la personne, son entourage ou la société. Enfin tant que la consommation reste modérée et occasionnelle. Pourtant, quelque chose vient de se passer dans le cerveau.
Le cerveau enregistrera à jamais cet effet psychotrope bienfaisant. C’est gravé à vie.
Il se rappellera qu’avec la boisson il pourra se mettre en veille et se reposer. On peut comparer ça à une voiture en panne de moteur qui se fait tracter par une autre voiture. La voiture roule, tourne mais n’a pas de moteur.
Il peut y avoir d’autres facteurs de qualités sociales ou
contextuelles comme le chômage, la solitude, la perte d’un être cher, les
problèmes conjugaux, affectifs, financiers, judiciaires ou professionnelles,
font que nombres de personnes ont un parcours de vie difficile. Dès ce moment,
le cerveau se rappelle inconsciemment l’effet psychotrope puissant de l’alcool.
- Certains s’adonnent à sa consommation régulière, qui dans le premier temps fait oublier les soucis ou le mal-être.
- D’autres au contraire vont super bien, et ils ont aucun souci. Mais ils ont par contre une très forte envie indéfinissable d’être encore mieux que bien. Ils vont se souvenir à l’insu de leur plein gré que l’alcool peut leur apporter cet état de mieux être.
Dans ces deux cas, une fois avoir repris ses esprits, les
personnes reviennent à leur état normal.
Pour le premier, les difficultés de la vie reviennent même se sont amplifiées.
Pour le premier, les difficultés de la vie reviennent même se sont amplifiées.
Pour le second, il va bien à peu près bien mais pas super
bien. Pour se sentir mieux, il a toujours ce mot « guérir le mal par le
mal » pour atteindre cet état de mieux être.
A force de consommer de l’alcool, le corps va mettre en
place des mécanismes de protections, développés plus ou moins rapidement selon
les personnes.
Il faudra dès alors, des quantités d’alcool de plus en plus importantes pour obtenir le même effet. On appelle ça la tolérance à l’alcool.
Dans un second temps, il y aura aussi la dépendance physique:
Qu’est ce que c’est ?
Il faudra dès alors, des quantités d’alcool de plus en plus importantes pour obtenir le même effet. On appelle ça la tolérance à l’alcool.
Dans un second temps, il y aura aussi la dépendance physique:
Qu’est ce que c’est ?
Le corps à force de s’adapter à la présence d’alcool, de
plus en plus importante, finira par ne plus pouvoir fonctionner normalement
sans alcool.
Pour que le corps retrouve son fonctionnement normal, il lui faudra un certain temps d’adaptation. Ce temps varie d’une personne à l’autre et dure en moyenne une bonne semaine.
Il est conseillé de faire un sevrage avec un contrôle
médical. Les manifestations du manque doivent être traitées avec des
traitements adaptées pour chaque individu.
Certaines de ces manifestations de sevrage peuvent être graves : crise d’épilepsie, convulsion, délirium tremens. A comparaison quelque chose qui m’a troublé, on meurt très rarement d’un sevrage de l’héroïne mais la privation brutale d’alcool sans contrôle peut être brutale.
Certaines de ces manifestations de sevrage peuvent être graves : crise d’épilepsie, convulsion, délirium tremens. A comparaison quelque chose qui m’a troublé, on meurt très rarement d’un sevrage de l’héroïne mais la privation brutale d’alcool sans contrôle peut être brutale.
En conclusion, l’alcoolisme est une maladie ou mieux un dysfonctionnement « bio-psycho-social », puisqu' il peut y avoir les
trois composants.
- Bio comme biologique ou physique voir génétique.
- Psycho comme psychologique,
- Sociale ou contextuelle.
L’alcoolisme est bien une maladie, le malade alcoolique a
effectivement un comportement excessif, obsessionnel qui entraînent une
altération de la santé physique et psychique. Cette maladie n’est pas
incurable, elle est curable.
- · Par l’abstinence totale et définitive
- · Par la recherche de palliatifs épanouissants non toxiques
- · Par l’adoption d’un mode de vie social hors alcool
N’oublions pas, même soignés la dépendance est un peu comme
une allergie elle reste gravée à vie. Mais la maladie, ne fera pas surface, si il
n’y a pas de re-consommation d’alcool.
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